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Marie-Annick Béliveau est présente sur les scènes montréalaises depuis plus de 20 ans. Elle recevait récemment le Prix Opus de « l’événement musical de l’année » pour sa prestation dans les Chants du Capricorne de Scelsi, opéra-performance pour voix seule.
Mme Béliveau est une interprète de premier plan dans le domaine des musiques modernes et contemporaines. Elle a créé plus d’une trentaine d’œuvres, et on peut l'entendre régulièrement en Europe et au Canada, sur les ondes de Radio-Canada et sur plusieurs enregistrements primés.
Également active dans le répertoire classique, elle se produit régulièrement en solo avec différents chœurs et prête sa voix à plusieurs enregistrements. On peut l’entendre entre autres dans les films Le Violon Rouge et Paul à Québec.
Artiste ancrée dans sa communauté, elle enseigne le chant classique à l’UQAM, au camp musical Père Lindsay et au centre musical CAMMAC, et elle chante depuis 10 ans à la Société pour les Arts en Milieux de Santé.
Dans la presse
"Il est de ces soirées dont on ne sort pas entièrement indemnes, tant la portée du discours musical est forte. L’engagement de la mezzo-soprano Marie-Annick Béliveau, accompagnée par Jean Derome au saxophone, envers ces Love Songs est absolu […] Excellente comédienne, Marie-Annick bouge sur scène, se déplace, nous fixe, devient pensive, ferme les yeux, se met à genoux... gestes parfois anodins mais qui deviennent ici lourds de sens."
- Claudine Jacques, L'Opéra, Novembre 2017
"le tour de force incroyable de Marie-Annick Béliveau, qui a véritablement réussi à assimiler, digérer et faire sien ce rituel musical et théâtral d’une difficulté sans borne. Son travail pour devenir une sorte de corps qui chante est impressionnant."
- Christophe Huss, Le Devoir, 13 mars 2015
"Hymnen an die Nacht was sung by mezzo Marie-Annick Béliveau with Louise-Andrée Baril at the piano. This short piece [...] left the night’s deepest impression. [...] Béliveau has a superbly clear tone that was perfect for the deceptively simple distended syllables she emitted, like Cassandra, without hope of being understood."
- Lev Bratishenko, The Gazette, 22 février 2013